Hairspray
Tu visualises les chiens (ou chats ou lapins) angora dont tu te demandes parfois de quel côté se trouve la tête ? ben, voilà... Je dis pas que tu risques de confondre ma tête avec mon auguste postérieur (enfin, j'espère pas), mais tu vois, avec cette sal***té de tignasse tu peux passer un moment à chercher mes yeux. T'as compris, je sais pas quoi en faire, je sais pas la discipliner, je sais pas la coiffer, je sais pas la faire tenir. Même quand j'attache ou natte mes tifs on dirait que je viens de sortir du sèche-linge, et alors quand il pleut, call me Shaun (le Mouton).
Moi sur la plage à Trouville. Toute contente de revoir la mer.
Tout couper ? Non, je ressemble déjà assez au bonhomme Michelin. Et mes expériences chez le coiffeur ne sont pas tout à fait... probantes.
Point positif : pas de cheveux blancs à 42 ans (ou du moins pas beaucoup), et pas mal de matière. Je pleurniche quand je réalise que mes garçons ont hérité des cheveux de leur paternel, et donc probablement de sa calvitie dès la trentaine. Mauvaise pioche.
Et pour le mariage ? j'ai fait des tests avec une coiffeuse à domicile qui a l'air de savoir ce qu'elle fait et ce qui me convient, mais j'avoue qu'en voyant la façon dont les épingles à cheveux refusaient ostensiblement de rester en place (c'est simple, il pleuvait de la ferraille autour de moi : TING TING TING TING), j'ai un doute sur le fait que le chignon prévu tienne jusquà la mairie... et encore moins une partie de la journée (Note perso : penser à avoir toujours la bombe Elnett à portée de main).
✩ Ceci est un article existentiel à forte teneur en kératine pour le Lundi à Deux d'Alice & Zaza ✩