Là sur sa peau gravé, un tatoo bleuté ♪
J'ai toujours eu envie d'un tatouage, un petit, un discret, un tout fin, un sensuel. Mais je n'ai jamais osé franchir le pas, je pense que dans ma tête un tatouage est un bijou qui attire l'attention sur un corps, et mon corps je l'aime tellement que je souhaite plutôt ardemment qu'il ne se fasse pas trop remarquer. Je le trouve déjà assez ravagé sans risquer un tatouage raté (oui le côté indélébile me fait peur, je me sais capable d'avoir à la fois le hoquet et un foutu éternuement au moment fatal). J'ai aussi toujours en tête le gros tatouage de mon père sur son bras, avec des initiales grossièrement tracées dans un gros coeur épais, des initiales... qui n'étaient pas celles de ma mère ! et celui de mon frère, plus discret pourtant, mais le symbole d'un truc fumeux qu'il a ensuite galéré pour se faire retirer.
Je pense que le jour de la réconciliation avec moi-même je finirai par franchir le pas et m'offrir la marque indélébile, immuable donc en rapport forcément avec mes enfants, peut-être pas la longitude et lattitude de l'endroit de leur naissance comme Angelina (parce que la position de l'hôpital du 9-2 c'est quand même moins sexy comme symbole), et zut-flûte-*** le coup des oiseaux c'est déjà pris par cette nouillette de Tris dans Divergente, mais je continue à y réfléchir, et en attendant je me fais des tatoos comme mes gosses.
Un beau Lundi à deux, Alice & Zaza !
♪ Etienne Daho, of course